Un million d’euros va être investi pour les clubs berlinois
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11 décembre 2017
Véritable capitale européenne du clubbing, la ville de Berlin va bénéficier d’un énorme plan de secours.
Au fil des années, Berlin est devenu la ville où il faut faire la fête. Du Berghain au Watergate, la capitale allemande accueille de nombreux touristes avides de fêtes. Comme révèlent nos confrères de Trax, le parlement a décidé d’investir un million d’euros pour aider les nombreuses boites de nuits qui animent Berlin. Entre 2011 et 2015, 170 établissements ont fermé suite à des plaintes pour nuisances sonores.
Le parlement a donc décidé de passer à l’action en aidant les clubs à améliorer leurs isolations acoustiques et former des staffs à gérer la faune de fêtards grâce à cette somme. « La culture du club a tellement apporté à Berlin que la municipalité doit maintenant mettre la main à la poche pour sauver les clubs » explique Georg Kössler député écologiste au Tages Spiegel.
Alors que des clubs ne cessent de fermer à Londres et qu’en France un décret souhaite faire baisser le volume sonore dans les évènements musicaux, il semblerait que tout ne soit pas voué à l’échec dans notre chère capitale. Frédéric Hocquard, adjoint à la mairie chargée de la Nuit, a confié à Trax qu’il travaillait sur un «principe d’intériorité» qui consiste à protéger les établissements de la nuit. Si de nouveaux arrivants s’installent dans un quartier où des clubs sont déjà présents, ils ne pourront pas se plaindre du bruit.
Au fil des années, Berlin est devenu la ville où il faut faire la fête. Du Berghain au Watergate, la capitale allemande accueille de nombreux touristes avides de fêtes. Comme révèlent nos confrères de Trax, le parlement a décidé d’investir un million d’euros pour aider les nombreuses boites de nuits qui animent Berlin. Entre 2011 et 2015, 170 établissements ont fermé suite à des plaintes pour nuisances sonores.
Le parlement a donc décidé de passer à l’action en aidant les clubs à améliorer leurs isolations acoustiques et former des staffs à gérer la faune de fêtards grâce à cette somme. « La culture du club a tellement apporté à Berlin que la municipalité doit maintenant mettre la main à la poche pour sauver les clubs » explique Georg Kössler député écologiste au Tages Spiegel.
Alors que des clubs ne cessent de fermer à Londres et qu’en France un décret souhaite faire baisser le volume sonore dans les évènements musicaux, il semblerait que tout ne soit pas voué à l’échec dans notre chère capitale. Frédéric Hocquard, adjoint à la mairie chargée de la Nuit, a confié à Trax qu’il travaillait sur un «principe d’intériorité» qui consiste à protéger les établissements de la nuit. Si de nouveaux arrivants s’installent dans un quartier où des clubs sont déjà présents, ils ne pourront pas se plaindre du bruit.
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