MATHIEU CROUZET / LES SESSIONS SALON DE RAJE
26 février 2021
MATHIEU CROUZET
Mathieu Crouzet est né on ne sait où ni comment ni quand, une basse reliée au nombril. Un matin, ses doigts agiles s’emparent de l’instrument confondu avec un biberon – pour ne plus jamais le lâcher. Commence une vie de musicien : la foi chevillée aux corps, le jeune homme s’en va par les chemins, égrenant les lignes mélodiques et dispensant un groove onctueux et racé. Adolescence à écouter toute la musique, jeunesse à la jouer, et, au fil des années, nombreuses collaborations avec une pléiade de musiciens de l’underground parisien ; à leurs côtés, enregistrements, tournées en France et concerts à Amsterdam, Constantine, Zhuhai ou HongKong. En janvier 2021 paraîtra l’EP Face A. Avec ces cinq titres ciselés, c’est à un boudoir parmi les cimes que nous convie le « désobéisseur onirique » et « flemmard olympique » – sur les pentes d’un Everest auréolé de songes et enveloppé de mélancolie, de spleen, d’humour aussi. Les lignes de basse s’y prélassent, charnues et généreuses, sur des sofas, tandis que d’entêtants arpèges servent à la batterie des cocktails coiffés d’amertume. De riches arrangements ornent les balcons, d’où des mots distillant l’attente, l’amour, une douce révolte aussi, se mêlent au vent d’autres charriant un air plus tonique, lequel vient fouetter l’âme harmonique de Mathieu Crouzet, né on ne sait où ni comment ni quand, une basse reliée au nombril.
Pour les sessions salon de Raje, Mathieu Crouzet, au côté d'Anthony Hocquard, nous partage une version acoustique de son titre "Love inside my balls" avec un soupçon d'humour, le tout en anglais.
Retrouvez MATHIEU CROUZET sur:
FB / INSTA
Mathieu Crouzet est né on ne sait où ni comment ni quand, une basse reliée au nombril. Un matin, ses doigts agiles s’emparent de l’instrument confondu avec un biberon – pour ne plus jamais le lâcher. Commence une vie de musicien : la foi chevillée aux corps, le jeune homme s’en va par les chemins, égrenant les lignes mélodiques et dispensant un groove onctueux et racé. Adolescence à écouter toute la musique, jeunesse à la jouer, et, au fil des années, nombreuses collaborations avec une pléiade de musiciens de l’underground parisien ; à leurs côtés, enregistrements, tournées en France et concerts à Amsterdam, Constantine, Zhuhai ou HongKong. En janvier 2021 paraîtra l’EP Face A. Avec ces cinq titres ciselés, c’est à un boudoir parmi les cimes que nous convie le « désobéisseur onirique » et « flemmard olympique » – sur les pentes d’un Everest auréolé de songes et enveloppé de mélancolie, de spleen, d’humour aussi. Les lignes de basse s’y prélassent, charnues et généreuses, sur des sofas, tandis que d’entêtants arpèges servent à la batterie des cocktails coiffés d’amertume. De riches arrangements ornent les balcons, d’où des mots distillant l’attente, l’amour, une douce révolte aussi, se mêlent au vent d’autres charriant un air plus tonique, lequel vient fouetter l’âme harmonique de Mathieu Crouzet, né on ne sait où ni comment ni quand, une basse reliée au nombril.
Pour les sessions salon de Raje, Mathieu Crouzet, au côté d'Anthony Hocquard, nous partage une version acoustique de son titre "Love inside my balls" avec un soupçon d'humour, le tout en anglais.
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Marie Ketele
