Marina Kaye chante "Homeless" en acoustique
17 mars 2015
Trois ans après sa victoire au concours télévisé « Un incroyable talent », Marina Kaye prépare actuellement son 1er album porté par le single « Homeless » que vous pouvez entendre sur RAJE depuis plusieurs semaines.
« Homeless » donne le ton. Marina Kaye n’a rien perdu de la voix qui avait ému les téléspectateurs lorsqu’à seulement 13 ans, elle interprétait de façon assez impressionnante « Set Fire to the Rain » le tube d’Adèle. « Homeless » révèle chez Marina une voix puissante avec autant de force que de douceur. A seulement 17 ans, la jeune chanteuse semble trouver ses inspirations du côté des jeunes artistes anglophones tels que Birdy ou Adèle. Car c’est en anglais que Marina a choisi de s’exprimer, elle écrit elle-même ses textes et souhaite prendre le temps pour préparer son premier album, afin de s’impliquer totalement dans la création... Il y a quelques jours la jeune chanteuse a dévoilé une version acoustique de son premier titre, tournée dans le Temple protestant de Pentemont à Paris accompagnée par le pianiste Yaacov Salah. Un moment de grâce absolue où l’on comprend que peu importe la langue que Marina Kaye a choisi, c’est sa voix qui est sa plus grande force, le plus vecteur d’émotion véritable.
Diane ROUDEIX
« Homeless » donne le ton. Marina Kaye n’a rien perdu de la voix qui avait ému les téléspectateurs lorsqu’à seulement 13 ans, elle interprétait de façon assez impressionnante « Set Fire to the Rain » le tube d’Adèle. « Homeless » révèle chez Marina une voix puissante avec autant de force que de douceur. A seulement 17 ans, la jeune chanteuse semble trouver ses inspirations du côté des jeunes artistes anglophones tels que Birdy ou Adèle. Car c’est en anglais que Marina a choisi de s’exprimer, elle écrit elle-même ses textes et souhaite prendre le temps pour préparer son premier album, afin de s’impliquer totalement dans la création... Il y a quelques jours la jeune chanteuse a dévoilé une version acoustique de son premier titre, tournée dans le Temple protestant de Pentemont à Paris accompagnée par le pianiste Yaacov Salah. Un moment de grâce absolue où l’on comprend que peu importe la langue que Marina Kaye a choisi, c’est sa voix qui est sa plus grande force, le plus vecteur d’émotion véritable.
Diane ROUDEIX
Y. EMRAN
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